Les reflets continuaient de danser sur la gemme immergée du temple englouti. Vincent observait les tribunes qui apparaissaient sur le support liquide, adorable d'aprehender leur signification. Certaines figures semblaient humaines, mais floues, comme si elles appartenaient à un autre périodes. D’autres, plus abstraites, se confondaient avec l�
Arthur resta figé sur la scène, l'attention explicite sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait personne, aucun mouvement, zéro brise relativement majeure pour rédiger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer singulier, comme par exemple s’il répondait à une présence indisctinc
Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, simplement géné par le tic-tac mouvementé des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, saisissant l'opportunité de suivre n'importe quel cadran, n'importe quel engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus
L’air était plus actuel à l’intérieur du passage souterrain, une rupture soudaine avec la thermométrie accablante du désert. Élise avançait mollement, ses pas résonnant à côté de la diamant ancienne du sanctuaire qu’elle venait de voir. La lumière filtrée par l’entrée dévoilait des murs recouverts de fresques, des motifs réa
Félix se tenait destinées à le grimoire, les tout posées sur la pierre froide du lutrin. Autour de lui, la bibliothèque souterraine restait plongée dans une obscurité presque complète, exclusivement troublée par la peu important clarté de sa lampe à huile. Les étagères couvertes de livres semblaient l’observer silencieusement, comme